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Voir toutes nos actualités38ème édition du Dakar – 2-16 janvier 2016
Même s’il s’est un peu égaré dans les dunes, Antoine Méo (KTM), vainqueur de l’étape de samedi, termine 8ème de la spéciale à Belen. Il conserve sa 6ème position et sa place de leader du groupe France.
Lundi 11 janvier 2016 – Etape 8 – Salta-Belen (Argetine)
Spéciale : 393 km – Total : 766 km
Parti en tête de la meute après sa fantastique victoire de Salta samedi dernier avant la journée de repos, Antoine Méo (KTM) poursuit son apprentissage du Dakar avec succès. 3ème au WayPoint 5 (mi parcours) derrière les deux Honda de Kevin Benavides et Paulo Goncalves, le tricolore s’est un peu égaré dans les dunes et perd près de 11 minutes sur le vainqueur de l’étape, l’Australien Toby Price (KTM).
Derrière, on s’organise. Adrien Van Beveren (Yamaha) est revenu à la 10ème place à 15.07, devant Alain Duclos (Sherco), 13ème à 17.51, Xavier de Soultrait (Yamaha), 15ème à 19.58, et Adrien Metge (Honda), 16ème à 22.3.7 minutes.
Au provisoire, si Price prend le commandement de l’épreuve avec 2.05 minutes d’avance sur Goncalves, Antoine Méo conserve sa 6ème position à 28.44 devant Alain Duclos qui perd une place (10ème à 45.11), Adrien Van Beveren, qui gagne deux positions (12ème à 53.47), alors qu’Adrien Metge pointe 17ème à 1h22.
En catégorie quads, les frères Patronelli ont vécu une journée sans problème. Marcos Patronelli (Yamaha) s'est imposé avec 5.42 minutes devant Alejandro Patronelli (Yamaha) et le Sud Africain Brian Baragwanath (Yamaha). Camelia Liparoti (Yamaha) arrache la 23ème place à 1h03.37.
Au général proviaoire, les frères Patronelli restent aux commandes. Alejandro Patronelli devance Marcos Patronelli de 2.06 minutes et le Péruvien Alexis Hernandez (Yamaha), 4ème de l’étape du jour, de 32.50 minutes. Camelia Liparoti, 19ème à Salta pour la journée de repos, grimpe d’une position avec la 18ème place à 4h31.06.
Tous les résultats sur le www.dakar.com
Mardi 12 janvier 2016 – Etape 9 – Belen-Belen (Argentine)
Spéciale : 285 km – Total : 396 km
Garder la tête froide
Cette étape en boucle n’en sera pas tout à fait une pour les motos et quads, qui termineront la première partie de cette deuxième étape marathon dans un bivouac isolé. Auparavant, ils auront passé la journée, tout comme les pilotes des autres catégories, en hors-piste quasi-intégral, à la fois dans des dunes parsemées de végétation et sur des terrains plus durs, parfois dans le lit de rivières. Physiquement, le défi du jour peut se révéler pimenté, en accord avec la progression du mercure dans le thermomètre. Les plus solides seront aussi les plus lucides pour effectuer les bons choix de navigation, un enjeu central sur cette spéciale.
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